En 1897, le fils d’Amédée Larrieu, Eugène, propriétaire du château Haut-Brion, fit un leg important à la ville pour qu’une fontaine publique soit édifiée en mémoire de son père. Un concours fut ouvert par la ville, dont le lauréat fut Raoul Verlet, pour une allégorie de la ville qui réunissait l’eau et le vin : « Burdigala », composition baroque où se superposent dans un savant désordre pyramidal tritons, petits vendangeurs, nymphe dans un décor de coquilles et de rocailles.

Devant le succés remporté par la maquette au salon de Paris, la Municipalité songea à déplacer la fontaine vers un écrin où elle serait mieux mise en valeur. Mais devant la grogne des habitants du quartier, qui attendaient leur fontaine, elle se ravisa et la composition fut installée à l’endroit prévu à l’abri des platanes de la petite place, qui devint le lieu de rendez-vous du quartier, d’autant qu’on ajouta à l’arrière un marché. A noter la grille Art Nouveau où on reconnaît la ligne « coup de fouet ».

pour plus de détails c'est ICI

Nouvelle floraison dans le bureau de mes collègues...!

celles-ci vont durer longtemps !

Profitant d'un rayon de soleil, je  décide d'aller flâner dans les rues de Bordeaux lors de ma pose déjeuner.

Elle me mène place Pey-Berland où sur le parvis de la Cathédrale Saint-André, des plaques au sol nous relatent quelques faits historiques...

Pour plus de facilité de lecture, voici son contenu :

La place Pey-Berland se trouve au coeur de la ville romaine de Bordeaux.

Ce secteur, marqué par la confluence du Peugue et de la Devèze, bien que partiellement marécageux, est occupé dès le 1er siècle. Vers 280, la construction de l'enceinte entraîne, avec l'aménagement de la Devèze et le déplacement du Peugue, l'assainissement de ces terrains.

Ils sont ainsi libres au moment de la christianisation de la ville.

Dès la fin de l'Antiquité, le Peugue qui ne conflue plus avec la Devèze, coule au Sud de notre cours Alsace et Lorraine. Au Moyen Age et jusqu'au du XIXème siècle, l'irrégulière rue du Peugue correspond sensiblement à la façade Sud de  la place Pey-Berland.

Sur cette rivière, contre l'actuelle rue des Palanques, se trouvait le Moulin de Saint-André ; non était installé le "treuil" (pressoir).

Je vous assure nous sommes bien en août...

Y'a des moments où on a plus le choix, faut s'y mettre...!

et mon fils qui n'est pas là !!!

d'un autre côté il ne repasse que ses affaires, faut pas pousser quand même !